Une élève de l’école Léopold-Carrière initiée au journalisme

JOURNALISTE D’UN JOUR.  Grâce à une initiative du Club Optimiste Les Coteaux, une jeune élève de l’école Léopold-Carrière a pu découvrir certains aspects du travail de journaliste, la semaine dernière, en compagnie de membres de l’équipe de rédaction du «Journal Saint-François». Marie Nadeau, âgée de 11 ans, a accompagné le photographe Pierre Langevin et l’auteur de ces lignes, le temps d’un avant-midi, dans le cadre de l’activité «Carrière de rêve». L’élève de 6^e année a d’abord assisté à une conférence de presse annonçant la 2^e phase du projet domiciliaire «La Vallée-des-Outardes» à l’hôtel de ville d’Ormstown. La résidente de la municipalité Les Coteaux a ensuite passé une vingtaine de minutes au Palais de justice de Valleyfield pour entendre des causes susceptibles de faire l’objet d’une nouvelle pour publication dans les pages de votre hebdomadaire régional. [caption id="attachment_63165" align="alignnone" width="521"] La jeune résidente de la municipalité Les Coteaux a rencontré un de ses concitoyens, en l’occurrence le directeur général du «Journal Saint-François», Stéphane Brais. (Photo: gracieuseté)[/caption] La journaliste d’un jour, parrainée par la représente Optimiste Francine Lalonde, a pu s’enquérir des diverses facettes du métier, qu’il s’agisse de la couverture des événements sur le terrain, de la mise en ligne des textes sur le web et Facebook, de la nécessité de maîtriser la langue française ainsi que de la facilité d’écrire rapidement. Les autres membres du personnel ont offert leur disponibilité pour faire connaître le fonctionnement d’un journal comme «Le Saint-François», propriété de l’entreprise «Gravité Media». Dans la lettre qui lui a permis de gagner le concours organisé les Optimistes coteaulois, Marie Nadeau a signifié qu’elle rêve de faire le tour du monde en tant que journaliste et photographe. «Chaque personne a quelque chose à raconter et j’aimerais me spécialiser dans les causes humanitaires. Je suis sensible à la misère comme les gens qui ne mangent pas en Afrique», affirme l’écolière. [caption id="attachment_63166" align="alignnone" width="521"] Une visite dans les installations du «Journal Saint-François» a permis à la journaliste d’un jour de confirmer son désir de faire carrière dans les médias. (Photo: gracieuseté)[/caption] «Je pense que je serais une bonne journaliste parce que je suis créative. J’ai beaucoup d’imagination, je suis patiente et je n’ai pas peur de m’engager. Je n’ai aucun mal à mettre mes idées sur papier. Je suis aussi habile avec la technologie et comme le journalisme se passe beaucoup sur le web de nos jours, ce serait facile pour moi. J’aime enquêter sur des mystères et essayer de les résoudre», a écrit la jeune fille, tout en manifestant son intention de faire des études collégiales et universitaires pour réaliser son rêve. Marie Nadeau dit avoir grandement apprécié son expérience et le «Journal Saint-François» espère avoir contribué davantage à lui donner le goût de faire carrière dans le domaine. [caption id="attachment_63167" align="alignnone" width="521"] La «journaliste d'un jour» a pu entendre quelques causes au Palais de justice de Valleyfield en compagnie de Denis Bourbonnais. (Photo: gracieuseté)[/caption] [caption id="attachment_63168" align="alignnone" width="521"] L'élève de l'école Léopold-Carrière, Marie Nadeau, photographiée dans les locaux du Journal avec le photographe Pierre Langevin et le journaliste Denis Bourbonnais. (Photo: gracieuseté)[/caption] [caption id="attachment_63169" align="alignnone" width="521"] Marie Nadeau, gagnante de l'activité «Carrière de rêve», en compagnie du journaliste Eric Tremblay. (Photo: gracieuseté)[/caption] [caption id="attachment_63170" align="alignnone" width="521"] Marie Nadeau, entourée des journalistes Yanick Michaud et Denis Bourbonnais. (Photo: gracieuseté).[/caption]