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Une nouvelle vie accordée au Centre Valleyfield

Il y a 5 heures
Modifié à 8 h 31 min le 18 juin 2025
Par Eric Tremblay

etremblay@gravitemedia.com

La vocation du Centre Valleyfield pourra être modifié et deviendra un élément majeur de la revitalisation du centre-ville. (Photo Journal Saint-François : archives)

Le développement et le réaménagement du Centre d’achat Valleyfield situé au cœur de la Ville pourra se faire. Le décret ministériel nécessaire a été adopté par le gouvernement. Une nouvelle qui permettra d’accélérer la revitalisation du centre-ville.

Depuis plusieurs années, les différentes instances travaillent d’arrache-pied pour modifier la vocation du centre d’achat.

Le Groupe Pomerleau et les autorités municipales planchent sur un projet de développement de plusieurs millions sur le site, intégrant des facilités commerciales, résidentielles et institutionnelles.

Le promoteur, Groupe Pomerleau, encourait une pénalité de 3 M$ s’il allait à l’encontre du décret adopté en 1988 et qui s'étirait jusqu'en 2037.

Le ministère de l’Environnement, de la Lutte aux changements climatiques, de la Faune et des Parcs a recommandé que l’immeuble 2 (le centre d’achat) soit cédé pour la somme de 200 000$, à la condition que les lots servent aux fins prévues par la Loi concernant la ville de Salaberry-de-Valleyfield.

«Je suis très heureux de la conclusion de ce dossier qui va donner un deuxième souffle pour la revitalisation du centre-ville de Salaberry-de-Valleyfield et qui va assurer à terme le développement résidentiel et commercial d’un site à fort potentiel et stratégiquement positionné, a laissé savoir le député de Beauharnois, Claude Reid. Les gouvernements précédents n’avaient pas donné suite aux demandes répétées de la ville pour revaloriser ce terrain et, à cet égard, je suis très fier de l’ouverture de notre gouvernement, notamment mes collègues à L’Environnement et à L’Économie avec qui j’ai travaillé activement, pour régler les enjeux relatifs au développement de ce site.»

Le décret de 1988 prévoyait que les ententes et baux ne permettait aucune modification au terrain situé entre les rues du Centenaire, Dufferin et Buntin et la rivière Saint-Charles. De plus, les bâtiments, sauf pour l’usine de filtration de la Ville, ne pouvaient être modifiés.

Plus de détails à venir