Les policiers de Salaberry-de-Valleyfield soutiennent une ressource qui vient en aide aux femmes et enfants victimes de violence conjugale
Nancy Patry, représentante de la Maison HINA, et les cinq étudiantes du cégep, Laurie Lagacé, Mégane Pede, Frédérique Guay, Adryanne Moniqui et Melyna Dubé apparaissent devant le lieutenant Pascal Gauthier de la SQ de Salaberry-de-Valleyfield, l’agente Isabelle Poirier de la police de Saint-Jean-sur-Richelieu, le capitaine Patrick Bertrand du de la SQ de Salaberry-de-Valleyfield et l’agente Stéphanie Nolin de la police de Saint-Jean-sur-Richelieu. (Photo - gracieuseté)
Les agents du poste de la Sûreté du Québec de Salaberry-de-Valleyfield ont participé à une collecte de vêtements qui ont été revendus afin d’amasser des fonds pour la Maison HINA de Saint-Jean-sur-Richelieu.
Les policiers du poste campivallensien, à l’instar de leurs confrères du Service de police de Saint-Jean-sur-Richelieu, ont été sollicités à participer à cette campagne organisée par des étudiantes en techniques administratives.
Les vêtements civils, qui remplissaient une camionnette de la SQ et une fourgonnette du service de police johannais ont été revendus lors d’une friperie éphémère au profit de la Maison HINA. Quatre unités du service de la police provinciale et le corps local ont contribués à l’initiative des étudiantes.
La friperie d’un jour a été ouverte le 30 avril et a connu un bon succès. Les profits ont été remis à la ressource. Les résidentes de la Maison HINA et leurs enfants avaient droit à des coupons pour obtenir gratuitement des vêtements de la friperie.