Financement bonifié pour le Centre sur l’Autre Rive

Claude Reid, député de Beauharnois, et Cinthia Bourque, directrice générale du Centre sur l’Autre Rive lors de l’annonce de l’octroi financier. (Gracieuseté)
Le financement du Centre sur l’Autre Rive à Salaberry-de-Valleyfield sera bonifié de 25 855 $.
Cette annonce a eu de quoi réjouir Claude Reid. « La pandémie nous a amenés à relever plusieurs défis de taille, tant individuellement que collectivement. Les personnes en situation de vulnérabilité et de dépendance n’y ont pas échappé. Je me réjouis que le gouvernement du Québec ait été attentif à cet enjeu vécu au sein de notre communauté, d'autant plus que le Centre sur l’Autre-Rive privilégie un mode personnalisé d’intervention axé sur plusieurs déterminants sociaux de la santé. C’est une excellente nouvelle pour toute l’équipe, puisqu’elle aura davantage de leviers d’action pour sa clientèle », indique le député de Beauharnois.
Un apport essentiel
Ce rehaussement est rendu possible grâce à une bonification nationale de 4 millions $ du programme Aide financière pour les ressources offrant de l’hébergement en dépendance (AFRHD).
« Ce montant représente une véritable bouffée d’air frais pour notre organisme surtout en cette période difficile, où nous faisons face à plus de demandes que jamais », indique Cinthia Bourque, directrice générale du Centre sur l'Autre Rive.
Rappelons que le Centre sur l’Autre Rive offre un programme de thérapie sur 16 semaines, ainsi que des services de réinsertion sociale et de suivi postcure aux hommes aux prises avec un problème de toxicomanie.
Le Québec peut compter sur un réseau de ressources communautaires ou privées offrant de l’hébergement en dépendance et des services de qualité, en complémentarité avec ceux des établissements du réseau de la santé et des services sociaux. Dans le contexte de la pandémie, ces ressources ont su s’adapter avec agilité afin de répondre aux besoins croissants de la population.
Par ce financement, et par les travaux de révision du programme AFRHD présentement en cours, le gouvernement reconnaît les besoins accrus et la nécessité de mieux soutenir les ressources qui viennent en aide aux personnes aux prises avec une dépendance.