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Un Campivallensien dans l’entourage de l’UFC

le vendredi 23 septembre 2016
Modifié à 0 h 00 min le 23 septembre 2016
Par Steve Sauvé

ssauve@gravitemedia.com

Passionné par la vente et les sports de combat, Yanick Bourget vient de réaliser son rêve professionnel. L’homme de Salaberry-de-Valleyfield vient d’être nommé représentant des ventes pour la compagnie TKOMMA, partenaire direct de l’Ultimate Fighting Championship.

C’est le mercredi 21 septembre que le résident du secteur de Notre-Dame-du-Sourire a apposé sa signature à un contrat qui le lie professionnellement à l’entreprise du promoteur québécois Stéphane Patry. D’ailleurs, c’est ce dernier qui l'a contacté pour lui offrir de se joindre à ce qui est désormais considéré comme le club-école de la plus prestigieuse organisation de combat d’arts martiaux mixtes au monde, l’UFC.

«Lorsque j’ai reçu la proposition de M. Patry, je n’en croyais pas mes oreilles, mentionne fébrile Yanick Bourget. Je suis vraiment fier. C’est une très belle opportunité.»

Bourget a dû faire ses classes pour arriver à se faire proposer un poste pour l’organisation qui présente son gala de retour en sol québécois le vendredi 4 novembre à la salle la Tohu de Montréal.

«J’ai commencé la vente publicitaire en 2014, souligne M. Bourget. À l’époque c’était pour trouver des partenaires lors d’un gala de boxe. J’ai tout de suite attrapé la piqûre. Cette année-là, j’ai travaillé à la promotion de deux combats en arts martiaux mixtes. Par la suite, j'ai été approché par Rivals MMA . C’est une organisation qui appartenait au Tristar de Montréal. Ça m’a permis d'entrer en contact avec Firas Zahabi, l’entraîneur de George Saint-Pierre.

Lorsqu’il a gravi les échelons, Yanick Bourget a appris quelque chose d’important. Ne jamais abandonner. «J’aime la vente et les sports de combat. Aujourd’hui, j’ai de la difficulté à réaliser ce qui m’arrive. Cela n’a pas toujours été facile, mais je n’ai jamais abandonné. Me voici maintenant membre d’une organisation professionnelle majeure affiliée à l’UFC. Ça me permet de combiner mes passions et d’aider l’organisation en faisant aller mes contacts.»

Le rêve de M. Bourget ne se termine pas là. Il pourrait devoir assister à quelques galas de l’UFC sans oublier de devoir assister à des réunions avec des dirigeants d’entreprises. «Je serai sûrement dans l’obligation de voyager pour rencontrer les partenaires et être avec les grands du milieu des arts martiaux mixtes. Tous les efforts que j’ai mis portent enfin leurs fruits. Toutefois, je sais très bien que ce n’est pas un milieu facile et que je ne compterai pas les heures de travail tout en combinant ma vie professionnelle et ma vie familiale», conclut le père de deux enfants.