Retour dans le passé
Une semaine après un événement en Virginie occidentale, Butch Strutz a fait le voyage avec le Gee Bee II spécialement pour être à Valleyfield. (Photo Journal Saint-François - Pierre Langevin)
Les Régates de Valleyfield représentent 82 ans d'histoire. De la passion et de la tradition qui animent toujours la foule. Surtout à la vue des embarcations d'une autre époque, qui témoignent bien de l'aspect expérimental de la quête de vitesse sur l'eau.
Une vingtaine de coques étaient présentes dont certaines construites dans les années 50. La fascination est telle que l'honorable Sylvain Dorais est revenu à ses anciennes amours et a pu conduire le CF-11 Miss Canadiana. Et ce, 44 ans après s'être assis dans l'embarcation de son idole, Art Ashbury.
L'officiel Jean Brault a eu droit à des tours rapides dans l'embarcation deux places du GP-982 Concordia pilotée par son cousin Ronald Brault. Une bonne performance saluée par Stéphane Brossoît. (Photo Journal Saint-François - Pierre Langevin)
Le Miss Gangway et le Northern Dancer n'ont pas ménagé les pistons de leur mécanique. (Photo Journal Saint-François - Pierre Langevin)
Patrick Obed a fait résonner la coque du GP-17 Midnight Miss. (Photo Journal Saint-François - Pierre Langevin)
Paul Poledink a éclaboussé son CE-52 White Lightning. John Palmer, qui a construit cette embarcation en 1972, était attendu dans les puits samedi. (Photo Journal Saint-François - Pierre Langevin)
Lyle Dinsmore est aux commandes d'une embarcation rendue célèbre par le regretté Howie Benns. (Photo Journal Saint-François - Pierre Langevin)
Hydroplane et bernaches ne sont pas de bon compagnons sur l'eau. (Photo Journal Saint-François - Pierre Langevin)
Le président des Régates de Valleyfield, Didier-Bernard Séguin, a grandement apprécié son tour de piste dans le GP-982 Concordia. (Photo Journal Saint-François - Pierre Langevin)