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Le prolongement de la rue Moco accélère

le jeudi 22 février 2018
Modifié à 15 h 43 min le 22 février 2018
Par Eric Tremblay

etremblay@gravitemedia.com

La rue Moco, qui servira à dévier la circulation automobile du boul. Mgr.-Langlois, est entrée dans une nouvelle étape de son prolongement. Mardi soir lors de la séance du conseil, on a appris que la Ville avait procédé à diverses acquisitions ou échanges de terrain dans ce secteur. Un échange et de ventes de terrains avec Kim Thanh Quach, des parcelles inutilisables pour la Ville, ont permis à cette dernière de mettre la main sur 61 000 $. Un échange avec la compagnie CAT Transport, puis l’achat d’une partie de lot à la First National Financial Corporation, au coût de 19 126 $, ont aussi officialisé mardi. Un promoteur s’intéresse au chemin Saint-Marie Le promoteur Gestion RocketHammer inc. a procédé à l’achat d’un lot d’une dimension de 90 000 p² sur le chemin Saint-Marie. Ce terrain est situé à l’arrière du supermarché Métro Plus. La somme payée est de 556 040 $. «C’est le promoteur qui nous a contactés alors que le terrain n’était pas en vente, a souligné le maire Miguel Lemieux. On a jugé que c’était une belle opportunité. » Le projet n’est pas défini, mais plusieurs unités de multi-logements pourraient être construits sur ce terrain.  Moins chers que prévu les bacs L’entreprise Distribution Jacques Blanchard a remporté l’appel d’offres pour la vente et la distribution des bacs pour les matières résiduelles. Le montant pour ce contrat est de 947 040 $. L’administration municipale avait préalablement emprunté 1 015 000 $ pour l’achat et la distribution de 14 860 bacs. «C’est en bas des estimés de départ», a signalé avec joie l’échevin Normand Amesse. Plus de 360 000 $ pour un règlement hors cour La Ville a évité de se rendre devant le juge dans un dossier d’expropriation dans le secteur du futur quartier Buntin. Le litige qui opposait la municipalité à Louis Fairbain pour l’expropriation d’une résidence de la rue Alphonse-Desjardins s’est réglé pour la somme de 363 000 $. Un montant qui se rapprochait davantage de la proposition de départ de la Ville. Près de 40 000 $ supplémentaires disponibles pour le dépôt à neige Valleyfield a approuvé la somme additionnelle de 39 370, 35 $ pour son site de dépôt à neige. Une somme qui représente 150 heures de travail pour empiler et souffler les neiges usées avec un bélier mécanique ou un souffleur. Miguel Lemieux a affirmé que ce serait Dame Nature qui déciderait si ce montant aura à être déboursé. Le contrat annuel stipulait 102 327 $ pour 500 heures. Comme on l’indiquait la semaine dernière, le dépôt à neige est rempli à 75 % de sa capacité. Durant les fortes précipitations, Michel Fortin, directeur des travaux publics, a confirmé que c’est tout près d’un camion à la minute qui allait vider son chargement sur place.