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L'Halloween le 31 octobre dans la région

le mercredi 30 octobre 2019
Modifié à 16 h 15 min le 30 octobre 2019
Par Yanick Michaud

ymichaud@gravitemedia.com

Contrairement à ce qui se fera dans quelques villes de la province, on ne déplacera pas la fête de l'Halloween à Salaberry-de-Valleyfield. « Halloween aura bel et bien lieu le jeudi 31 octobre à Salaberry-de-Valleyfield. Les gens qui le souhaiteront pourront ouvrir leurs portes à nouveau le vendredi 1er novembre, s'ils le désirent », indique Valérie St-Onge des communications de la Ville. La Ville de Beauharnois confirme que la collecte de bonbons est maintenue le 31 octobre. Pour des raisons logistiques. Le Service de sécurité incendie de Beauharnois et le Service de police de Châteauguay sillonneront les rues pour assurer la sécurité. Idem pour Vaudreuil-Dorion qui mentionne sur sa page Facebook : « Étant donné les nombreux messages reçus à cet effet, la Ville de Vaudreuil-Dorion informe les citoyens que la fête d'Halloween sera célébrée le 31 octobre. »

Une fête reportée

En raison des nombreuses alertes météo, certaines municipalités de la province ont décidé de donner un délai de 24 heures aux vampires, forains, princesses, cowboys et sorcières, afin de récolter des friandises. C'est le cas entre autres de Sorel-Tracy, Sainte-Julie, Varennes et McMasterville. La pluie et les vents font craindre le pire aux autorités, dans le cadre de cette fête effrayante. Dans certaines régions du Québec, on a réglementé à propos de cette célébration qui se tient maintenant le dernier samedi d'octobre, chaque année. Des raisons nombreuses ont mené à cette décision. Entre autres, les enseignantes se disent comblées. Chaque année, Halloween fait en sorte d'exciter les écoliers qui se déguisent, mangent des quantités impressionnantes de bonbons, donc de sucre, et dorment mal. « Les enfants sont distraits. Les parents sont à la course. On revient du travail. Nous faisons le souper. On maquille les petits monstres. Et on part chercher des bonbons. Quand c'est le samedi, on y va à notre rythme. On dort le dimanche et on évacue le sucre ingéré », dit une enseignante qui vit l'horreur chaque année à cette période hantée.