Actualités
Faits divers

Le siège d’une femme intoxiquée et 5 accidents en moins de 2h30

le vendredi 06 septembre 2019
Modifié à 10 h 40 min le 06 septembre 2019
Par Denis Bourbonnais

dbourbonnais@gravitemedia.com

FAITS DIVERS.  On se serait cru dans la ville de Chicago, jeudi, à Salaberry-de-Valleyfield, entre 10h30 et 13 h. Les sons de sirènes retentissaient de toutes parts et les policiers en ont eu plein les bras pendant cet épisode où pas moins de 5 accidents de la circulation ont été dénombrés, sans oublier le siège d’une femme intoxiquée qui a tenu un quartier en haleine pendant près de 3 heures. Peu de temps après deux collisions et le braquage d’un supposé pistolé dans le visage d’une employée d’un dépanneur de la rue Académie, qui a forcé l’intervention de 16 véhicules de la Sûreté du Québec, des patrouilleurs ont été appelés à se rendre sur les lieux de 3 autres accidents de la circulation. Un de ces impacts est survenu vers 12h30 sur la rue Jacques-Cartier à la hauteur de l’avenue du Parc. Une conductrice stationnée entre deux voitures se serait engagée dans la circulation et elle a été heurtée par une auto qui s’amenait sur Jacques-Cartier. Plus de peur que de mal mais les deux véhicules sont endommagés. Une demi-heure plus tard, pendant que la dame en détresse psychologique mobilisait l’attention d’une vingtaine de policiers dans le secteur de la rue Saint-Jean Baptiste, une automobiliste était sérieusement ébranlée dans une autre collision survenue à l’intersection des rues Hébert et du Centenaire. [caption id="attachment_69746" align="alignnone" width="444"] Sur Jacques-Cartier à la hauteur de la rue du Parc, la conductrice d’une auto stationnée serait entrée dans la circulation pour se faire frapper par une autre voiture. (Photos: Gaétan Prégent)[/caption] Un arrêt obligatoire loupé serait à l’origine de l’impact impliquant un camion de livraison et les ambulanciers ont porté secours à la dame blessée. La voiture «Honda Civic» est amochée alors que le camion n’a que des égratignures. Sur le site web du Journal et les réseaux sociaux, les internautes n’en revenaient pas comme ce fut une période folle pendant quelques heures à Salaberry-de-Valleyfield.