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Le chalet du Parc régional des Îles sécurisé
le lundi 06 mai 2019
Modifié à 14 h 04 min le 06 mai 2019
Le chalet qui trône au centre du Parc régional des Îles à Saint-Timothée est actuellement en chantier. Des travaux évalués à 315 000 $ qui seront complétés pour l’ouverture de la plage le 15 juin.
Les travaux en cours font partie d’une mise à niveau des installations dans ce parc qui a été amorcée l’an dernier. Les rénovations au chalet terminent la mise à jour pour laquelle la Ville avait adopté un règlement d’emprunt de 1 million $.
«Les travaux au chalet sont reliés au pourtour qui était devenu dangereux, a expliqué Magali Joube, agente aux
[caption id="attachment_62515" align="alignright" width="210"] Les travaux au chalet du Parc régional des Îles de Saint-Timothée sont évalués à 315 000 $.[/caption]
communications à la Ville. On en profite pour reconfigurer les environs ce qui permettra d’aller directement de la plage aux petits restaurants. »
L’an dernier, la toiture, l’éclairage et un nouveau poste d’accueil près de l’accès par la rue Saint-Laurent ont fait partie des aménagements sur le site.
Plus près du stationnement, un garage sera construit cet automne. Celui-ci servira à entreposer les différentes machineries nécessaires à l’entretien du parc.
[caption id="attachment_62516" align="alignleft" width="210"] La crue printanière ne devrait pas avoir d'impacts négatifs sur l'ouverture de la plage de Saint-Timothée prévue le 15 juin.[/caption]
La plage comme prévu
Malgré la crue printanière qui a provoqué plusieurs inondations, comme en 2017, la saison de la plage n’est pas compromise en ce moment. «C’est trop tôt pour les prévisions météos, mais Hydro-Québec n’est pas inquiet et met tout en œuvre pour que la plage ouvre comme prévu le 15 juin, souligne Mme Joube. Il n’y a rien d’alarmant. »
Il y a deux ans, au-delà de la crue, les fortes pluies qui ont perduré au mois de juin ont eu pour effet d’élever le débit à un niveau dangereux.
La fermeture complète de la plage avait entraîné une perte financière d’environ 200 000 $ pour la Ville. Celle-ci avait même dû engager des agents de sécurité pour s’assurer que l’interdiction de baignade soit respectée.