La Maison des aînés ouvrira en septembre
(Photo Journal Saint-François - Mario Pitre)
Après quelques reports et retards, la Maison des aînés de Salaberry-de-Valleyfield devrait maintenant ouvrir ses portes en septembre prochain, a-t-on appris.
Dans un courriel envoyé par le CISSS de la Montérégie-Ouest aux résidents du voisinage, celui-ci indique que «l’ouverture officielle de la Maison des aînés et alternative (MDA MA) de Salaberry-de-Valleyfield est prévue en septembre 2025. Cette première phase s’échelonnera sur deux semaines et comprendra notamment l'arrivée d'une grande partie du personnel et par la suite, l'accueil des premières personnes hébergées.»
Rappelons que les travaux de construction et d'aménagement de l'immeuble ont été complétés l'hiver dernier. Cependant, la mise en service a été retardée de quelques mois en raison d'une pénurie de personnel.
En mars dernier, le CISSSMO nous indiquait qu'à ce moment-là, «... le personnel infirmier est insuffisant pour assurer une couverture sécuritaire de l’ensemble des quarts de travail. Conséquemment, la date d’ouverture de la MDA MA demeure à déterminer».
Tout indique que la situation a pu être rétablie à cet égard, les responsables de disent fébriles d’entamer les activités et d’accueillir les premières personnes hébergées.
Rappelons qu'à l'origine, l’échéancier prévoyait d’abord l'ouverture à la fin 2023, puis le tout a été reporté en septembre 2024 puis à l’hiver 2024. Le projet compte 96 places, dont 72 pour des aînés en perte d’autonomie et 24 pour des adultes ayant des besoins particuliers. Les aménagements inclut également un CPE de 80 places, une salle polyvalente, de même qu’un café-bistrot accessible aux visiteurs.
Hébergement temporaire pour jeunes filles de la DPJ
Par ailleurs, le CISSSMO fait savoir que des jeunes filles hébergées actuellement à l’unité La Rose-des-vents seront relocalisées temporairement, dès aujourd'hui 20 juin, dans une maisonnée de la Maison des aînés et ce, jusqu’au début de l’année 2026.
Ces jeunes filles, hébergées en vertu de la Loi sur la protection de la jeunesse, requièrent un hébergement de courte durée et font partie d’un programme d’accompagnement ouvert qui leur permet de circuler librement, sans supervision, à l’extérieur de leur milieu de vie temporaire. Ces jeunes filles nécessitent de façon temporaire, un répit hors de leur domicile, avec une équipe spécialisée pour favoriser leur réadaptation.