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Exposition en plein air au Parc régional de Beauharnois-Salaberry

le lundi 16 mai 2022
Modifié à
Par Mario Pitre

mpitre@gravitemedia.com

Le préfet de la MRC de Beauharnois-Salaberry et maire de Salaberry-de-Valleyfield, Miguel Lemieux, l’artiste Audrey Sambeau et Jean-François Gendron, représentant élu de la MRC au sein du Conseil de la Culture et maire de Saint-Stanislas-de-Kostka. Le trio est photographié au site de l’exposition installé à mi-chemin entre le Parc de la Barrière et la Halte des Tisserands à Salaberry-de-Valleyfield. (Photo Gracieuseté)

Les utilisateurs du Parc régional de Beauharnois-Salaberry profitent d’un tout nouvel attrait visuel et culturel depuis quelques semaines, avec la toute nouvelle exposition « Ces paysages qui nous habitent », dont les panneaux d’interprétation sont installés en 3 lieux différents.

L’exposition qui prendra place sur une durée d’un an a été réalisée avec la précieuse collaboration de l’artiste campivallensienne Audrey Sambeau. 

Elle se décline en 3 thématiques qu’on peut admirer à la Halte de l’Oie des neiges de Saint-Étienne-de-Beauharnois (Champs, vestiges, transformations); à mi-chemin entre la Halte du Canal et la Halte des Plaisanciers à Saint-Stanislas-de-Kostka (L’eau); de même qu’à mi-chemin entre le Parc de la Barrière et la Halte des Tisserands à Salaberry-de-Valleyfield (Les paysages humains / La maison).

Dans le cadre de ce projet, initié en partenariat avec le Conseil des Arts et de la Culture de Vaudreuil-Soulanges (CACVS), des citoyens ont été invités à rencontrer l’artiste Audrey Sambeau, directement sur les sites de leur choix qui les ont, soit marqués par le passé, ou pour lesquels ils vouent un intérêt particulier.

Le citoyen s’est alors vu remettre le matériel et les instructions pour réaliser à la maison une création inspirée de ce paysage et de son entretien, et qu’il retourna par la suite à l’artiste.

À son tour, l’artiste a également réalisé une oeuvre, inspirée du paysage raconté, et qui a été ajoutée en transparence à l’oeuvre du citoyen. Une fois superposées, l’oeuvre de l’artiste et celle du citoyen donnent ainsi une lecture croisée de ce paysage, ce qui donne lieu à l’actuelle exposition.

(Photo Gracieuseté)