Des biscuits pour redonner le sourire à des ados

Cette année, la semaine des Biscuits sourires des restaurants Tim Hortons de la région bénéficiera à la Fondation de l’Hôpital du Suroît. Du 17 au 23 septembre, pour chaque Biscuit sourire vendu (1$ + taxes) dans les cinq succursales de Salaberry-de-Valleyfield, de même que celles de Les Coteaux, Coteau-du-Lac et Rivière-Beaudette, 1 $ sera remis à la Fondation. Ce nouveau partenariat a été annoncé jeudi au Tim Hortons du 805 boulevard Mgr-Langlois par le président de la Fondation, Hugo Desrosiers. « La Fondation remercie chaleureusement les franchisés, Mathieu Côté, Jacques Daoust, Sylvie Fecteau, Geneviève et Murray Savage ainsi que Graham Black. Merci de changer le monde, un biscuit à la fois », a déclaré M. Desrosiers. L’an dernier, la vente des Biscuits sourires avait rapporté environ 1000 $ par succursale, a indiqué le gérant de la succursale qui accueillait ce lancement, Dan Lajeunesse. La directrice générale de la Fondation, Katleen Favreau-O’Brien, a par ailleurs fait savoir que les entreprises de la région pouvaient également contribuer en passant des commandes de biscuits à la douzaine en appelant au 450-377-3667. Des bénévoles de la Fondation effectueront la livraison. Pour la clientèle jeunesse Les sommes recueillies par la vente des Biscuits sourires seront versées pour les besoins de la clientèle en santé mentale âgée entre 12 et 17 ans, aux prises avec des problèmes d’anxiété. [caption id="attachment_52756" align="alignnone" width="521"] Hugo Desrosiers et Kathleen Favreau-O’Brien, respectivement président et directrice générale de la Fondation de l’Hôpital du Suroît, de même que Denis Lesieur du CISSSMO, ont pris la parole lors du lancement de cette campagne. (Photo Journal Saint-François Pierre Langevin)[/caption] Denis Lesieur, chef de programme santé mentale jeunesse pour la région au CISSSMO, explique que les adolescents d'aujourd'hui vivent des choses bien différentes que les autres générations. « L’avancement de la technologie leur permet un accès plus facile à une panoplie de choix, mais l’envers de la médaille fait en sorte qu’ils doivent arriver à s’adapter plus rapidement aux changements imposés par leurs choix causant souvent une surcharge de stress plus difficile à gérer, dit-il. Le CISSS offrira donc un programme d’activités permettant aux jeunes de mieux comprendre les multiples enjeux internes qui les affectent, afin qu’ils puissent faire des choix plus éclairés les menant vers la prochaine phase de leur vie en tant que jeune adulte. » Voilà donc une excellente occasion de joindre l'utile à l'agréable, du 17 au 23 septembre.